William Collins

ft. Ian Somerhalder | gr. vampires

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carte d'identitéâge ;; 499 ans
date de naissance ;; 12 mars 1512
origine(s) ;; Anglaise
lieu de naissance ;; Londres | Angleterre
orientation sexuelle ;; Hétéro
état civil ;; Célibataire
profession ;; Propriétaire ? Co-propriétaire du fangtasia ? Proprio' des choses que possèdent Eric et fauteur de troubles professionnel.

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tout est dans la têteSi vous pensiez connaître un emmerdeur dans votre entourage, vous ne tarderez pas à le trouver bien sage en rencontrant William, le sans-gêne, horrible squatteur et infâme profiteur de son état. Si c'est visiblement un talent inné chez le vampire, il a eu pas mal d'années pour le perfectionner et estime depuis un bout de temps être le meilleur dans cette catégorie. Oui, il en est fier, mais en même temps il considère ce côté de sa personnalité comme un véritable don. Il aime faire chier le monde et le montre bien. Et encore, ce n'est pas tout. Quand l'emmerdeur aime devenir véritable fauteur de troubles, il laisse sa marque dans l'histoire aussi sûr qu'il se nomme William. Adorateur des situations qui chassent l'ennui, il aime les mettre en scène puis y participer activement ou tout simplement se délecter du spectacle. Aaaah l'époque où il pouvait crier un "Qu'on lui coupe la tête" pendant la révolution française est l'une de ses périodes préférées et la raison essentielle qui fait qu'il adore la France. Il ne se lasse jamais des querelles et autres choses dans le même genre. En fait, quand le climat devient trop calme, vous le verrez sans aucun doute s'en plaindre et tailler la route pour trouver un climat qu'il qualifiera de plus accueillant. A chacun son point de vue après tout. Mais rassurez-vous, on ne se débarrasse pas si facilement de lui. Et pour votre plus grand malheur, un immortel a pas mal de temps à tuer. S'il prend plaisir à vous emmerder, il reviendra obligatoirement quand "le plus amusant ailleurs" l'aura finalement lassé pour un temps.
Se qualifiant d'amusant, c'est pour la seule et unique raison qu'il se fait rire lui-même. Tout ce qui compte, c'est le plaisir personnel qu'on peut prendre après tout.

Moqueur, menteur, joueur et acteur, il ne se lasse jamais de jouer un rôle quand la situation s'y prête. Se faire passer pour un riche baron dans le temps, aujourd'hui pour un chasseur et la semaine dernière pour un prêtre qui veut éradiquer les vampires ne lui posent aucun soucis. Le changement de style, il contrôle. Et parce que c'est un crétin qui s'en amuse, ne vous étonnez pas de le voir se présenter sous des identités à la con comme Duncan McLeod et autres héros en tout genre. Pourquoi se fouler à se chercher un nom quand des scénaristes idiots le font pour lui ? D'autant plus quand c'est plus marrant.
Non, inutile de lui lancer un air fatigué, il n'en tiendra pas compte et ça l'encouragera probablement. C'est que ça se fatigue difficilement ces bêtes là.
Déconneur, il ne se soucie pas de ne faire rire que lui par moment. ça ne le gêne pas non plus d'avoir un fou rire dans un silence de plomb à une veillée funèbre. Le respect n'est pas quelque chose qu'il a envie d'appliquer. Et puisqu'il applique ses propres règles, pourquoi s'arrêter ?

Se moquant des lois que les autres instaurent, le vampire fait bien ce qui lui plaît au plus grand désespoir de certains. Tant que la situation est à son avantage, le reste importe peu, même votre race.
Amateur des bonnes et belles choses, collectionneur, William a des occupations étranges comme le pillage de tombe ou le harem personnel à son actif. Quand on aime l'argent et posséder et qu'en plus un mort n'a plus grande utilité des choses qui dorment avec lui sous terre, pourquoi ne pas se servir ? Ok, techniquement, vous n'êtes pas mort et c'est votre petite amie, mais fallait lui dire de ne pas porter une jupe aussi courte. Il y a une raison pour tout le plaisir personnel qu'il peut s'accorder, qu'elle soit juste ou non.
Si on pourrait le qualifier de neutre dans les diverses guerres qu'il peut parfois y avoir entre les races, il faudrait voir tout de même à ne pas trop le chercher. Car croyez-nous, aimer s'amuser n'empêche pas d'aimer la torture quand on le chercher. En d'autres termes, il est vivement conseillé de ne pas le chercher.
Peu loyal ? Probable, mais sa loyauté envers son créateur est totale et irréversible. S'il y a quelqu'un qu'il ne trahira jamais, c'est bien Eric. Prêt à tout lâcher au moindre mot de sa blonde platine, il cache visiblement un meilleur fond et un peu de responsabilité.

Si on ajoute son côté charmeur à celui d'amateur de belles choses, on n'obtient ce vampire qui enchaîne les conquêtes sans souvent prendre le temps de retenir un prénom. Tellement plus facile de leur chercher des petits noms que de retrouver celui qui leur a été donné à la naissance. Se lassant cependant très rapidement, William aime le changement et ne s'attache que très rarement, pour ne pas dire jamais, à une créature avec des formes alléchantes. En même temps, quand on estime pouvoir en obtenir une nouvelle sur l'heure, inutile d'être exclusif, il faut savoir partager sa perfection. Et oui, Monsieur s'aime et ne s'en cache pas. Il le montre d'ailleurs très clairement et en abuse souvent au travers de plaisanteries devant le miroir.
Lui ? Attirer facilement les problèmes ? Quand on les cherche, faut s'y attendre. Mais quand on est sûr de soi, pourquoi les éviter ?
Et oui, un ténébreux a réponse a tout et possède en plus un papa pour réparer les pots cassés. Elle est pas belle la vie ?
La sienne... visiblement en tout cas.

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petit cours d'histoireDe sa vie humaine, il n’y aurait sans doute pas grand-chose à raconter. Parce que, selon lui, elle était plutôt chiante et qu’en plus de ça elle remonte à loin. C’est à Londres que William, peut importe son nom de famille à l’époque, voit le jour. Né dans une famille plutôt pauvre et, comme il le dit lui-même, plutôt conne, il est forcé de se débrouiller dès son plus jeune âge. Entre un père qui passe sa vie au bordel et une mère pas plus efficace si ce n’est pour donner coups de bâton et ordres, William décide de voler pour manger. Et parfois simplement pour revendre. Déjà pas grande honte à le faire à l’époque, il considère qu’il est bien normal d’improviser quand la vie n’offre pas les mêmes choses aux pauvres qu’aux nobles. Débrouillard et malin, on peut dire que le gamin s’en sort plutôt bien, allant jusqu’à faire une tête de chien battu à la sortie des églises pour quelques sous pour tout bas se moquer de la noblesse.
Il est toujours ce même gamin quand sa famille est assassinée par un démon comme on nommerait Eric à l’église. Pleurer, faire son deuil, ou se lancer dans une quête de vengeance ne lui effleure pas l’esprit. Encore plus étrange, c’est la main tendue du meurtrier qu’il décide de prendre pour le suivre désormais sur la route.
Démon ou pas, Eric est bien la première « personne » qui se propose de s’occuper réellement de lui et William ne tarde pas à le considérer comme un véritable grand frère, ou plutôt même comme son propre père. Définition qui prendra tout son sens des années plus tard quand le vampire deviendra son créateur.

Des années à sillonner les routes et à le suivre partout sans douter une seconde. Des années à rester le même gamin malin et un brin merdeux qu’il a toujours été, sans doute même pire.
A l’âge adulte, c’est sans surprise qu’il rejoint le chemin de l’immortalité à son tour. Formé aux bases vampiriques par son créateur, William lui voue une fidélité sans limites. Et connaissant l’humain, puis le vampire, croyez-nous, c’est plutôt un exploit pour lui tant de dévotion voir d’obéissance.
Si la hiérarchie ne rime pas trop avec son mode de vie, il débarquerait dans la seconde si son créateur venait à l’appeler. Il ne doute jamais d’un de ses ordres et ne remet jamais en cause les décisions de son créateur. Du moins, sérieusement parlant. Pas dit qu’il n’emmerde pas un peu pour s’occuper.

Du genre vadrouilleur et particulièrement fouteur de merde, le vampire participera à quelques évènements de l’histoire pour son plus grand plaisir. Entre clamer « qu’on lui coupe la tête » au cours de la Révolution française, sa période préférée de l’histoire, ou se joindre aux esclaves d’une île pour une Révolution qu’il organise lui-même malgré son statut de blanc et d’amant de la maîtresse de maison, William est passé maître dans l’art d’animer une ville quand il la juge trop ennuyeuse. Attirer des ennuis à Eric ? Il est vrai que ça lui arrive de revenir le voir avec une mauvaise nouvelle, mais c’est les aléas du métier… oui, si tuer un noble pour se faire passer pour lui et organiser des « brunchs » dans son manoir peut être un métier, on peut voir les choses comme ça.

Adoptant le nom de Collins en même temps qu’Eric qu’il a toujours considéré comme sa propre famille, il adopte les titres de co-propriétaire sans rechigner. Si ça peut servir !
Pas fan de la décision d’annoncer leur existence au Monde, il n’est pas rare de le voir exprimer sa nostalgie sur les années passées. Cette période où ils pouvaient saccager, piller et tout le reste. Maintenant, il faut s’intégrer, travailler et ne pas tuer… quel vampire digne de ce nom peut trouver ça amusant ?
Et comme à chaque fois en matière d’autorité, il n’est pas étonnant de voir William poursuivre sa vie comme elle était avant même s’il se permet un ou deux respects de règles de temps à autre.

Dernière connerie en date ? Voyons, William s’est rachetée une conduite et son grand âge lui permet plus de maturité. Vadrouiller en Angleterre, refaire connaissance avec ses origines, même assister à une messe, transformer une fille de pasteur en vampire, boire du thé dans un club de littérature.
Oui, vous avez bien lu la bonne partie. Mais hey, en même temps, Grace lui a demandé si gentiment, comment refuser ? Dire non à une blonde n’appartient pas à sa religion. Tout comme l’aider à ne pas être vierge de manière immortelle. Ouais, on sait, un véritable héros des temps modernes.
Ok, peut être, on dit bien peut être, que ce groupe d’anti-vampires pourrait poser problèmes, mais quel intérêt d’être immortel si on ne vit pas dangereusement ? Probable que ce sera l’une des raisons données à Eric pour se justifier, une fois plus, d’apporter ennuis et agitation dans son territoire. En même temps, soyons honnête, il a déjà fait pire que d’embarquer une jolie blonde dans son monde.

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derrière l'écranpseudo ;; Cookie
âge ;; 25 ans
autre(s) compte(s) ;; Eden Jones & Sydney Dawson
où ai-je connu le forum ;; Daddy encore
le mot de la fin ;; Espoir (pour une fois, j'avais envie de faire genre... parce que pastèque, mangue et noix de coco ça va bien. Mais de l'espoir pour mon cerveau, va falloir en avoir =.=)